Si vous regardez sur son crane
un cheveux , deux cheveux
trois cheveux volent au vent
Mais sur son torse quelle pagaille
Tous ces poils font un voile
Qui nous cache son poitrail
dans sa culotte y a une carotte
qu'une lapine comme aline
Tous les jours un peu grignotte
Et il parait qu'la taille d'son nez
Mesurée, c'est prouvée
De sa queue donne une idée
Mon Dieu qu'il aime
A nous montrer ses fesses
Si sensible aux caresses
D'une main pleine de tendresse
Mon Dieu qu'il aime
De sa voix qui derange
Pousser la chansonnette
Nous on prefere qu'il pete
© GRAV - 1996 en l'honneur de notre collègue Babak, Royal Econome
de Salle de garde |