- J'ai vu ses seins, ses fesses dans mes mains comme si j'y étais
- Toute la nuit, le nez dans l'oreiller, je me suis paluché
- Elle est de tous les tonus, depuis la nuit des temps
- En brune ou bien en rousse, en violet de temps en temps
- Toutes les fois où j'ai subi ses doigts, je ne regrette pas
- Des religieuses, au nom de leur foi, lui ont lancé une fatwa
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- J'ai vu la Guerre, Guerre, dans le couloir en train de se tripoter
le pubi'
- J'ai vu mon gland, gland, ramolo devant sa fureur et ses cris
- Et j'ai prié, j'ai prié, prié, pour pas me
faire taxer
- J'ai vu la Guerre, Guerre, se marrer et la roue s'est mise à tourner
- Et j'ai vu
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- Que cent mille PH pleurent à jamais, vidés, consommés
- Tous les badges rouges ont cessés de briller, elle les a
brûlés
- Son économinou s'est jeté sous un train
- Abandonné comme un chien, il se finira cinq contre un
- Le pire est à craindre pour demain
- Ca ne lui fait rien
- En regardant ses hématomes bleutés
- J'ai trouvé la vérité
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- J'ai vu la Guerre, Guerre, dans le couloir en train de se tripoter
le pubi'
- J'ai vu mon gland, gland, ramolo devant sa fureur et ses cris
- Et j'ai prié, j'ai prié, prié, pour pas me
faire taxer
- J'ai vu la Guerre, Guerre, se marrer et la roue s'est mise à tourner
- Et j'ai vu
© ® Sarah B, Anne Gaëlle A, Julien F.
En l'honneur de la Royale Econome de Monfermeil et Indomptable Capelmeister
Agnès G, pour son tonus du 1er février 2002.
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