Oh verge quel espoir, oh merveille pour mon vit
De tout ce que j'ai vu rien n'est aussi joli
Ne me suis-je branler pour d'immondes croupions
Que pour voir en ce jour d'aussi charmants tétons
Ces seins qu'avec respect tout l'Internat admire
Ces seins qui tant de fois des queues ont faits frémir
Tant de fois raffermi c'qui n'était pas
de bois
Transformé ma quenelle en un beau
truc tout droit
Ah quel beau souvenir, les avoir tripoté
Et caressé un jour, pour toujours en rêver
Nouvelle félicité, agréable
bonheur
Monticules élevés ou glisser
mon ardeur
Faut il comme un notaire d'une cravate qu'y monte
Ou bien à l'espagnole branler ce que je conte
Seins, sois de mon membre à présent
gouverneur
Emprisonne moi bien et sens donc ma vigueur
Et ton jaloux fessier qui aime tant qu'on le pine
Je l'apprécie bien sur mais j'préfère tes tétines
Et ces si doux présents dont il faut être
digne
Ces deux morceaux de choix, pour lesquels
on trépigne
Seront ils pour toujours, glorieux ornements
Les fruits de la passion pour mon bel instrument
Ainsi moulé ce soir oh muse de nos poutres
Cette poitrine toujours dégoulin'ra de foutre
©Ben-TheC-Raf. Oct 1998. Pour l'enterrement de
Vanessa "La Poitrine étalon de l'Internat de Paris", texte officiel de
la cérémonie du Moulage. |