- De sa Maîtresse:
-
-
- Ô mon cher Alain, je te jure
- que je t'aime de tout mon corps
- Mais vrai-ai not'destin est trop
dur
- t'as plus l'temps de m'faire jouir
encore
- Tu dois le comprendre
toi-même
- malgré ta bit'tant
indurée,
- et qu'il faut-en grand'
maternelle-
- faut plus qu'on baise à la
récré!
- Je t'adore et si je-e-suis folle
- " c'est quand ta bite redevient
molle,
- Je la suce alors avec ardeur!
- crois moi avec moi pas b'soin
d'beurre!!
-
- les conquêtes sont parfois secotine,
alors sur l'air
- "sous aucun prétexte je ne veux qu'ton
coeur de silex.....
-
- Sous aucun prétexte, je ne
veux
- Qu'on parle de sexe entre nous
deux
- Prends donc un kleenex,
- tu mouilles un peu,
- et laisse tomber mon noeud,
- Ma, Ma Ma Ma ..ena!!(bis)
-
- Toujours attiré par les Pharmachiennes
, ça pouvait mal finir:
- (La Périchole, "Il grandira car il est
Espagnol")
- En salle de garde, on pourrait vraiment
croire
- Qu' avec Mimi, ils font un couple
heureux
- Mais faut-il croire toujours les bruits
d'couloir,
- Lorsqu'il s'agit d'une histoire de
Queue?
- Interrogée, la chère
Pharmacienne,
- a répondu, en toute
sincérité:
- Je n'en peux plus, je n'en veux
plus
- Il me prends comme une chienne:
- Y m'baiz'ra plus, Y m'baiz'ra
plus,
- Y m'baiz'ra plus ce con de Cévenol nol
nol nol nol
- Y m'baiz'ra plus Y m'baiz'ra plus,
- Y m'baiz'ra plus car il l'a bien trop
molle!!
-
©Hotel Dieu 1982. Enterrement d'Alain
D
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